Hello, je viens vous présenter un livre que j'ai terminé « Ils étaient vingt et cent... » de Stanislas Petrosky des éditions French Pulp que je remercie pour cet envoi.

5/5 - 18 € - 220 pages

Je ne sais même pas par quoi commencer, ce livre m’a fait pleurer à de nombreuses reprises, il faut dire que je suis très sensible aussi. La plume de l'auteur nous transporte dans les camps d'extermination de femmes, on retrouve Gunther, jeune allemand opposé au régime nazi, qui excelle dans l'art du dessin.
On suit Gunther dans ce camp, où il dessine au début dans l'ombre sans le montrer, mais au fils des pages on le surprend et on va lui demander de dessiner tout et souvent des scènes très dures de tortures, de personnes décédées.
Et dans cet art, il veut plus tard montrer les scènes de tortures, les conditions de vie, la mort.
Cela a été très dur à lire dans le sens où ce qui est imaginé par l'auteur ou non, vous le savez comme moi que cela s'est passé ainsi et les femmes ont beaucoup souffert dans ces camps. On se rend compte de la torture qu'on subit ces femmes à l'époque et franchement c'était inhumain les conditions de vie.
L'auteur nous fait passer par diverses émotions, la peur, la tristesse, le doute, l'angoisse. Il y a aussi de l'amour, de l'amitié et de la haine dans ce roman. J'ai trouvé le livre poignant, et franchement je vous conseille fortement cette lecture qui est à la fois difficile mais qui peut nous en apprendre sur les camps féminins à l'époque de la guerre. Vous passerez malgré tout un moment agréable malgré l'horreur au côté de Gunther.

Avez-vous déjà lu ce livre ? Ou avez-vous envie de le lire ?
Dites-moi tout en commentaire.

A très vite pour une nouvelle chronique.

Le résumé :

Gunther, jeune allemand opposé au régime nazi, excelle dans l'art du dessin.
Il se retrouve promu illustrateur officiel du camp de Ravensbrück, son œil d'artiste interprète la vie et surtout la mort.
L'histoire d'un homme qui a vu la construction et la libération du plus grand camp d'extermination de femmes du IIIème Reich, un homme qui a vécu des deux côtés des barbelés.